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LES FRONTIERES MONTAGNEUSES


Les frontières de la Bretonnie sont marquées à l'est et au sud par deux hautes chaînes de montagnes. Elles ne font pas office de défenses naturelles car ces régions sont infestées d'orques et d'autres ennemis prêts à descendre vers les vallées fertiles pour y semer la désolation.

Les Montagnes Grises
Ces hautes montagnes constituent la frontière qui sépare l'Empire de la Bretonnie. Quelques défilés les traversent et sont empruntés par les voyageurs et les marchands, mais ils sont peu sûrs et impraticables en chariot. Seules des mules et des hommes à pied peuvent les utiliser.

La plus importante de ces passes est appelée le Défilé de la Hache. Elle est gardée du côté impérial de la montagne par la forteresse d'Helmgart, et du côté bretonnien, par le château de Montfort.

Cette passe, chemin tout désigné des années d'invasion qui tentent de franchir les montagne, a été le théâtre de nombreuses batailles et escarmouches. L'extrémité nord des Montagnes Grises s'abaisse graduellement pour atteindre les hautes terres de la Trouée de Gisoreux. C'est la principale route commerciale entre la Bretonnie et l'est, et le chemin le plus facile à emprunter pour une armée d'invasion. Cet accès est donc défendu par de nombreux et formidables châteaux tenus par des barons belliqueux qui saisiront la moindre opportunité de guerroyer à la tête de leurs nombreux chevaliers et hommes d'armes.

Les Montagnes du Sud
Elles marquent la frontière sud de la Bretonnie. A leurs pieds s'étendent la Tilée et Skarogne. A l'est, la chaîne de montagnes atteint une région de pics très élevés appelés les Voûtes. Les passes qui traversent ces montagnes sont très rares et celles utilisées par les marchands sont très dangereuses. Bien qu'il soit très risqué pour des armées d'invasion de traverser ces montagnes, la frontière est tenue par de nombreux châteaux forts qui montent la garde contre les skavens, les orques et les gobelins. L'essentiel du trafic commercial avec la Tilée passe par le défilé donnant dans les plaines de Miragliano, ou par mer, en contournant la péninsule Estalienne.

Le Massif d’Orquemont
Les pics rocheux battus par les vents du massif d'Orquemont dominent les terres en plein cœur de la Bretonnie. Ils s'élèvent au-dessus de la forêt de Chalons et sont totalement dénudés sauf là où quelques pins tordus s'accrochent à la roche. Quand les ancêtres des Bretonniens n'étaient qu'une poignée de tribus sauvages, cette région était tenue par les orques et les gobelins. Quelques enclaves orques et gobelines y existent toujours, cachées au milieu des pics et des ruines des forteresses détruites par les chevaliers bretonniens dans leurs efforts constants pour débarrasser cette région des peaux vertes. D'une manière ou d'une autre, des orques et d'autres créatures féroces parviennent toujours à se cacher dans ces montagnes malgré les expéditions de chevaliers mises sur pied pour résoudre ce problème par le fil de l'épée. La région est truffée de cavernes, dont certaines ont peut-être été creusées jadis par les nains. Les orques et les gobelins ne sont pas seuls dans ces montagnes, on raconte aussi que les skavens y tiennent une forteresse, en plein cœur de la Bretonnie. A plusieurs reprises, les nobles bretonniens ont battu la contrée pour mettre un frein aux ravages de ces créatures malfaisantes.

Les Sœurs Blanches
Les Sœurs Blanches, ou Pâles Soeurs, sont une région de collines calcaires situées à l'extrême nord des Montagnes Grises. Ces collines désolées, séparées des montagnes par le fleuve Oisel, sont habitées par des bergers bretonniens, et les châteaux y sont peu nombreux. Les ancêtres des Bretonniens, inspirés par les contacts qu'ils avaient avec les elfes et les nains, y ont érigé d'immenses tumulus funéraires pour leurs chefs. Ces tombaux, aujourd'hui en ruines, sont devenues des repaires de monstres et de spectres. Cette région attire de nombreux Chevaliers et l'on y rencontre aussi des nains chercheurs de trésors.