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I
l fut un temps où l’Empire lui-même vacilla au bord du gouffre. Déchirée par une guerre civile sans merci, la terre de Sigmar avait basculé dans l’anarchie et le chaos. Revenons à ces jours terribles où la lutte pour le trône fit se lever le frère contre le frère et le fils contre son père...

Des incendies embrasaient la nuit glaciale tandis que des mercenaires sans foi ni loi, à la recherche de pierres magiques, écumaient les rues de la cité orientale de Mordheim. Hormis des amas de ruines noircies, rien ne restait de cette ville autrefois fière et orgueilleuse : la chute de la comète avait tout balayé. Mettant à profit la défaillance des autorités locales, les traîtres et les adorateurs du Chaos s’y rassemblèrent. Des cadavres s’extirpèrent lentement de leurs sépultures alors que les adeptes des arts interdits de la Nécromancie les ramenaient à un hideux simulacre de vie...

Les gens de Mordheim prièrent Sigmar de les délivrer du péril, mais leurs suppliquent restèrent sans réponse : les ténèbres de la Mort et du Chaos s’étaient déjà abattues sur eux...

Voici la sombre histoire de l'oubliée Cité des Damnés. Ces quelques chapitres te révèleront l'horreur qui régnait en ces temps maudits des Ages Sombres de Warhammer.

Avant la Comète : la description de la magnifique cité de Mordheim avant qu'elle ne soit détruite.

L'Empire en Flammes : l'Empire est déchiré par les luttes fratricides et Mordheim subit le Grand Châtiment.

La Cité des Damnés : Mordheim n'est plus, la Cité des Damnés s'élève des ruines.

Les Bandes de Mordheim : les chercheurs de trésor se ruent dans la Cité des Damnés.

Bien que vous marchiez avec la peur au ventre et le goût amer de la mort dans la bouche, chaque jour vous entendrez l'appel de votre funeste destin et vous lutterez contre votre destruction.

Bien que vous dormiez sous le voile de la nuit et que la victoire adoucisse les ténèbres, chaque jour vous devrez échapper à l'étreinte glaciale de la mort, tandis que la lumière de l'immortalité brillera toujours plus fort.

Bien que vous gisiez à présent sous une terre froide et que les vers rampent en silence sous votre palais, votre chair décomposée sert encore aux asticots qui mangent sans voir, sans penser ni rien espérer.
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